Dans le sport, le flow permet aux athlètes d’atteindre des performances exceptionnelles. Pelé, par exemple, décrivait son expérience lors d’un Mondial : « j’ai ressenti comme une sérénité étrange malgré l’enjeu, une sorte même d’euphorie. J’ai eu l’impression de pouvoir courir une journée entière sans fatigue, de pouvoir dribbler n’importe qui, de réussir toutes les combinaisons possibles avec mes équipiers sans même se regarder, se parler ou réfléchir ».

Connaître cet état de flow nécessite de vivre pleinement l’instant présent, se décentrer de l’anxiogène environnant pour nous concentrer sur l’enjeu d’atteindre ensemble l’objectif partagé. 

Pour créer un flow relationnel dans une équipe, nous suggérons aujourd’hui le deuxième des 3 leviers :

Levier 2 : la considération positive et inconditionnelle

Il s’agit d’accepter totalement l’autre tel qu’il m’apparaît dans le présent. Cela ne dépend en aucune façon de critères moraux, éthiques ou sociaux. C’est un regard positif dû au simple fait que l’autre est une personne qui appartient comme moi, au genre humain, avec toutes ses qualités et ses défauts, avec sa grandeur et sa misère. Indépendamment de sa « performance pure », je regarde la personne elle-même qui fait très souvent de son mieux compte tenu de son histoire et de sa circonstance. Un vrai défi !

En tant que leader, cela me permet de considérer son équipier en terme de processus ; je le considère comme un être changeant et capable de transformation sans m’attarder sur ses limites, ses erreurs.

Et si j’optimisais ma considération positive cette semaine ?

Pour relire le post précédent – 1 ère partie –  cliquez sur le lien suivant : https://wecoopere.com/comment-je-developpe-la-fluidite-flow-au-sein-de-mon-equipe-1ere-partie

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