Churchill fut un vrai chef de guerre qui émergea au moment opportun pour sauver son pays. 3 choses inspirantes méritent d’être encore mentionnées à son sujet :

1- Il fut le seul grand chef d’état Prix Nobel de littérature. L’écriture était sa passion. Un leader doit avoir une singularité, une échappatoire dans laquelle se réfugier quand la pression est trop intense. Cette passion est sa marque de fabrique, ce qui le définit vraiment et le distingue. Quelle passion ou singularité cultivez-vous ? 

2- Dès la fin de la guerre, il fut battu aux élections, malgré tout ce qu’il avait fait pour son pays. Un grand leader doit s’attendre à être critiqué – voire rejeté – injustement. « C’est fourni avec le job ». Il faut donc un travail sur soi important pour être à la hauteur, et comprendre les enjeux cachés du leadership. Comment développez-vois régulièrement  votre résilience ?

3- Cette grande carrière faillit ne jamais voir le jour à cause d’une pneumonie qui fut à 2 doigts de l’emporter…mais toutes les belles histoires finissent bien. Voici comment cela s’est passé et comment la providence avait gardé Churchill pour cette période si spéciale de 1940-1945. « Il s’appelait Désiré, c’était un pauvre fermier écossais. Un jour, alors qu’il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d’un marécage proche. Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu’à la taille dans la vase, apeuré, criant et cherchant à se libérer. Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle. Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme. Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé – Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils ! – Je ne peux accepter de paiement pour ce que j’ai fait répondit le fermier écossais. Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane. C’est votre fils ? demanda le noble. Oui, répondit fièrement le fermier. Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d’offrir à votre fils la même éducation qu’à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu’il sera un homme duquel tous deux seront fiers. Et le fermier accepta. Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l’Ecole de Médecine de l’Hôpital Sainte-Marie de Londres. Porteur d’une grande aspiration, il travailla dur, comme il avait appris à le faire à la ferme, jusqu’à être connu du monde entier, pour sa découverte capitale: la pénicilline, premier antibiotique majeur qui sauva la vie de millions de personne par la suite, dont Winston Churchill de sa pneumonie. Le Pr Alexander Fleming fut consacré Prix Nobel de médecine en 1945, l’année de la victoire des alliés. Au fait, savez-vous comment s’appelait le noble de notre histoire…..? Sir Randolph Churchill…le Père de… »!